La rencontre avec Jean-Paul Eymond, lors dune visite à Cordouan, sest faite sur un coup de cur : pour cet édifice et pour les propos que tenait Jean-Paul. Il nétait pas un simple guide, il en était le gardien, celui qui, depuis 35 ans, vibrait pour ce phare magnifique dont il avait appris à connaître le moindre recoin ; celui, aussi, dont le métier nallait pas tarder à disparaître.